Mon Top 30 des films de 2019

Mon Top 30 des films de 2019

Fin d'une année, fin d'une décennie. Retour en images, en textes, en sensations et en émotions sur la cuvée cinéma 2019. D'Hamaguchi à Eggers, en passant par Gray et Llinas. Lire plus

Les Misérables

Les Misérables

Vrai-faux La Haine 2019, ce film de son époque est aussi un essai éminement philosophique sur un sujet sociétal majeur : le pouvoir d'une image et ses conséquences. Lire plus

The Irishman

The Irishman

Des gangsters, De Niro, Pesci, Pacino, une durée gargantuesque et un budget encore plus énorme : The Irishman avait des airs de film ultime pour Scorsese - où est-il justement un peu plus que ça ? Lire plus

The Lighthouse

The Lighthouse

Tour de force technique avant tout, The Lighthouse avait sû générer de forces attentes : le buzz passé, le résultat vaut-il un peu plus que le tour de passe-passe égocentrique ? Lire Plus

lundi 30 septembre 2013

Breaking Bad - Intégrale


INTEGRALE - AMC
Créée par Vince Gilligan

dimanche 29 septembre 2013

Lettre à Momo


Réalisé par Hiroyuki Okiura (2013)
Avec Karen Miyama, Yûka, Daizaburo Arakawa, Toshiyuki Nishida

samedi 28 septembre 2013

Prêts pour un Tour du Monde ?


Je pourrais commencer avec une anecdote toute naze, genre : « Quand j'étais jeune, mon père me parlait d'un Tour du Monde. De tous ces gens, de toutes ces cultures qui n'attendaient que notre venue. De toutes ces merveilles à découvrir... » Mais ce serait mentir. D'une part mon père n'en a rien à foutre que des moins bouddhistes tapent sur des assiettes géantes ou que des pygmées dans des recoins oubliés de l'Afrique vivent encore comme à la Préhistoire, et d'autre part parce que j'ai jamais voulu faire un Tour du Monde.
Trop long, trop fatiguant.
Mais ça c'est à pied, ou avec Jackie Chan et Steve Coogan en mongolefière (oui, j'ai un correcteur orthographique). Aujourd'hui je veux vous parler d'un Tour du Monde Cinématographique. « POUAH ! Et pourquoi pas un tour du monde sur Google Earth, gredin ? » Je VOUS emmerde ! C'est pas pareil ! Parce que Google Earth c'est juste une photo satellite. Un film c'est l'occasion de prendre sur le fait des étrangers dans leur milieu naturel. Parce qu'un film ça retranscrit aussi une culture. Il suffit juste de passer le Rhin et de voir à quel point des Werner Herzog (même si il s'est inspiré de la Nouvelle Vague) ou des Fritz Lang sont différents d'un Truffaut ou d'un Chabrol. Alors imaginez ce que c'est à l'autre bout de la planète. Le problème, c'est que beaucoup ont tendance à rester cloîtré dans le schéma habituel : allez, un film français, un film américain, un film anglais... Oh tiens, on fait exotique, un film belge.
Je ne caricature même pas. Les trois quarts des français pensent comme ça, et je suis presque persuadé qu'au moins un tiers des cinéphiles se contente de Scorsese et de Kubrick. Enfin, je critique, mais je suis pas non plus très différent de ça : à part le trio magique US/UK/France, les seuls cinémas auxquels je touche beaucoup sont le Japon, la Chine, la Corée du Sud, le Danemark, la Russie, la République Tchèque, le Mexique, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et le Chili (si on considère que Alejandro Jodorowsky a fait des films chiliens - ce qui n'est pas vraiment le cas en faites). Sur le papier ça peut faire beaucoup, mais en tout ça fait une quinzaine de pays. Y en a combien dans le monde ? Pas moins de deux cents. Et je suis persuadé que je n'ai vu des films que d'environ trente pays différents, au grand maximum.
Au début je voulais nommé cet "article" Un tour du monde en 80 films, merci Jules Verne et mon inspiration sans limite quand il s'agit de trouver un titre total HOLY SHIT, mais quand je vais vous expliquer le principe de tout ça, vous comprendrez que le nommer ainsi ne voulait dire se limiter à seulement 80 pays. Soit même pas la moitié du Monde.

Fini les belles paroles, je vous explique de quoi il en retourne : ce projet, il va prendre plusieurs mois, voir plus d'un an, j'en suis certain. Il pourra m'arriver de le mettre en pause pendant un mois, avant de le reprendre à fond pendant deux semaines... ce sera un rythme irrégulier, très éparse mais qui me tient à cœur. Donc je sais que je le mènerai "à terme". Vous l'avez sans doute compris : mon objectif c'est de faire le tour du monde en regardant un film par pays. Et l'expression "pays" est même un peu trop brumeuse, puisque je prévois aussi de regarder des films provenant d'Ecosse, d'Iglookik (une île canadienne où habite un communauté d’inuits - vous savez les mecs qui vivent dans les Igloos - et oui ils ont produit des films), ou même de Taïwan (qui n'est pas considéré comme un pays par tout le monde, rappelons-le - d'ailleurs ils font de très bons films), entre autres. Je sais aussi très bien que tous les pays n'ont pas produit de films, et même si c'est le cas, certains ont été très peu distribués, voir pas du tout, et je pense que passer le cap des 120 films, même avec les régions (Ecosse, Iglookik...), ce sera déjà une belle chose de faite. Je ne me fixe pas de limites - je m'arrêterai quand je penserai avoir terminé.
Une autre règle : je ne dois pas avoir déjà vu ces films. Sachant que pour certains pays j'ai déjà vu presque l'unique film parvenu jusqu'à nous, ça va me demander encore plus de travail pour dénicher des trucs complètement inconnus seulement sous-titrés en anglais.
Et à chaque film vu, je viendrais vous en parler ici, dans un article / critique détaillé, où je parlerai à la fois du film mais aussi de son origine, de son pays, de sa culture. Parce que c'est une chose importante.

Fini les beaux discours, j'ai juste envie de dire "Let's Go" et m'auto-bonne-chancer, en espérant que vous ferez de même en me soutenant dans ce projet d'envergure. Qui vous intéressera je l'espère.
Attention ! Cela ne va rien changer à l'activité du blog : je prévois toujours une Semaine Horreur et une Semaine Anglaise, j'ai récemment vu Rush et Blue Jasmine et je prépare des articles dessus (ce qui ne veut pas dire qu'ils sortiront - je fais beaucoup de brouillons sans suite), et ça ne m'empêchera pas d'aller au cinéma.

Et ceux qui sont intéressés pourront même tenter de voir les mêmes films que moi, un tour du monde c'est mieux à plusieurs ! On va bien s'amuser ! (technique commerciale très avancée visant à obtenir des commentaires sur les articles des films concernés)

Films vus dans le cadre du Tour du monde :
#1 - Danemark : Ordet, de Carl Theodor Dreyer (1955)
#2 - Tchad : Daratt, de Mahamat Saleh Haroun (2006)
#3 - Taïwan : A Brighter Summer Day, de Edward Yang (1991)
#4 - Cuba Soy Cuba, de Mikhaïl Kalatozov (1964)

mardi 24 septembre 2013

Siberia - Saison 1

SAISON 1 - NBC
Créée par Matthew Arnold

mercredi 18 septembre 2013

Le Top 20 des films les plus choquants de l'histoire du cinéma


- Maman ?! Pourquoi le Monsieur il met son doigt dans...
- Cache tes yeux mon chéri.
En ces temps sombres où les plus de 30 ans pensent que jouer à des jeux-vidéos rend psychopathe, où tous les jours nous voyons la misère dans le Tiers-monde au Journal Télévisé (ou du moins, après le reportage sur le fantastique village de Chambert-les-Prés et de ses magnifiques sculpteurs sur bois), où des émissions à l'intelligence folle se propagent sur nos chaînes hertziennes, où l'accès à l'information et à tous les médias (je fais référence à 2 girls 1 cup) est, pour beaucoup des humbles philosophes septuagénaires, la prophétie de la fin du monde... Et bien, le cinéma, lui, est d'après beaucoup, de plus en plus choquant - violent - subversif. Entre les polémiques autour de films serbes pas très amusants et des séries télé sur des chevaliers et des dragons qui baisouillent au moins trois fois par épisode, ou les professeurs de chimie cancéreux devenant des Tony Montana 2.0, il est évident pour beaucoup que nous vivons dans une époque horrible où la violence s'est banalisée.
Non, nous ne vivons pas à une époque où des petits hommes complexés à la moustache fort commune s'exprimant dans des langues d'outre-rhin et décident sur un coup de tête de massacrer tout un peuple, nous ne vivons pas non plus dans la peur qu'un reître nous attende à la sortie de notre maison avec une hache, ou qu'une pandémie soit soignée sous la houlette de Jésus en saignant les gens. Non, notre époque est bien plus terrible : il n'y a plus d'Hitler, il n'y a plus de Saint-Barthélemy, il n'y a plus de Charles Manson, il y a... Internet. Vade Retro! Enfin bref, dans tous les cas, des grands hommes mettent en parallèle l'excès de violence des productions cinématographiques actuelles avec l'essor de cette nouvelle forme de communication, en oubliant probablement la Guerre qui a rythmé leurs jeunes années. Mais passons, ces belles paroles étaient évidemment là pour amener le sujet du jour... Le Top 20 des films les plus choquants, les plus abjects, les plus glauques, les plus crades, les plus perturbants, les plus dérangeants - par le sujet qu'ils traitent, par la manière dont il est traité, par leur crudité psychologique, physique, sociologique ou sexuelle (donc on exclu les chocs cinématographiques qui ne sont pas nécessairement "crus")... de l'Histoire du cinéma. Et ceci est subjectif, il y a d'ailleurs eu beaucoup de recalés.
Amen.

jeudi 5 septembre 2013

Red 2


Réalisé par Dean Parisot (2013)
Avec Bruce Willis, John Malkovich, Lee Byung-hun, Helen Mirren

mercredi 4 septembre 2013

Les Apaches


Réalisé par Thierry de Peretti (2013)
Avec François-Joseph Cullioli, Aziz El Hadachi, Hamza Meziani, Joseph Ebrarb